6 septembre 2010

Praha jour 1


(Vous excuserez la penurie de ponctuation, faute de clavier tcheque)

Sitot quitte Montreal, a peine le temps de deposer mon patras a Strasbourg, puis deja dans lavion pour Prague. Je suis arrivee tard samedi soir, et deja la difference culturelle Amerique-Europe de l'est se fait sentir. Je ne comprends ni ce qui est ecrit ni ce que l'on me dit... Mon auberge de jeunesse, recommande par ma petite soeurette, est dans un quartier plutot tranquille a l'est du centre historique. Samedi soir oblige, les copinots de l'auberge tentent de me convaincre a les suivre pour aller clubber, mais l'appel de mon oreiller se fait beaucoup trop sentir...

Pour ma premiere journee complete, je m'attaque au Chateau de Prague, qui est situe sur une colline. C'est comme une ville dans une ville, un peu a la Carcassone si ca peut vous en dire plus... Evidemment, mucho turistos! Mon coup de coeur de la journée a été vite trouvé (Ha!ha! j'ai trouvé les accents aigus et graves!) : le vitrail d'Alphons Mucha à la Cathédrale St.Vitus. Un vitrail moderne, avec des gradations de couleurs chaudes et froides à vous couper le souffle. Je pense que je suis restée devant pendant 10 minutes...



J'ai finalement passé la journée à déambuler aux alentours du chateau et j'ai visité des petits musées, dont un avec une bonne sélection de Breughel, à mon grand plaisir! Mais à ma grande stupéfaction également, les principes de la conservation dans les musées tchèques est quelque peu différente : ce sont des ventilateurs sur pied qui se chargent de régler la température ambiante...

Et pour terminer la journée, j'ai descendu le Pont Charles pour rejoindre la Vieille Ville, le Pont Charles étant l'équivalent des marchands itinérants de la Place Jacques-Cartier à Montréal, mais sur un pont. Joli tout de meme! Et j'ai pu contempler le coucher de soleil sur le Chateau en regagnant la rive.

2 commentaires:

  1. Quel beau coucher de soleil! J'espère que Prague était à la hauteur de tes attentes!

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  2. Cela me fait penser, ailleurs en République Thèque, certains musées étaient tellement déserts que le responsable nous débarrait les portes et allumait les lumières expressément pour nous et refermait le tout derrière!

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